- Quels exercices sont les plus appropriés pour les programmes de prévention primaire des blessures à l’épaule chez les athlètes ?
- Le screening d’une éventuelle faiblesse musculaire, comme une perte de force rotatoire dans l’épaule, a-t-il de la valeur chez les athlètes ?
- Quelles mesures dans la gestion charge sont pertinentes chez les athlètes blessés ?
- Quelle est la meilleure réhabilitation à apporter en pratique à un athlète blessé ?
- Quels critères devraient guider une prise de décision de qualité lors d’un RTS ?
METHODE
PROCESSUS DE CONSENSUS
RECUEIL D’INFORMATIONS
Le premier tour du processus de Delphi avait 54 questions centrées sur :
- Facteurs de risques et réduction du risque de blessure
- Charge d’entrainement
- Réhabilitation et management de la scapula
- La coiffe des rotateurs, l’épaule après épisode de luxation ou l’instabilité généralisée
- La réhabilitation et la progression spécifique au sport
- Les critères de RTS
Pour s’assurer d’obtenir un consensus, une échelle sur 11 points (0 à 10) a été utilisée avec une note moyenne parmi les experts de 7/10 comme valeur limite. Après analyse des retours pour le premier tour, il a été élaboré des questions additionnelles pour le deuxième tour, qui ont été ajoutées à celles n’ayant pas fait consensus lors du premier tour.
- Management du risque de blessure
- Management et progression de la charge
- Réhabilitation de la blessure d’épaule
- Preuves pour soutenir la décision du RTS
- Ce qui est connu ou inconnu sur les facteurs de risque pour la blessure à l’épaule chez l’athlète.
- Le screening de l’épaule de l’athlète.
- Le management du risque de blessure avec des programmes d’exercices de prévention primaire et secondaire.
- L’implémentation des programmes d’exercices de prévention.
La littérature et les processus de Delphi restant divergents, la discussion d’experts en présentiel a suggéré qu’un bilan musculosquelettique générique avait sa place (non spécifique au sport mais incluant un mix de ROM, force, puissance et autres mesures standardisées ici sports-spécifiques comme les mesures du ratio RE/RI).
MANAGEMENT DU FACTEUR DE RISQUE ET PROGRAMMES D’EXERCICES DE PRÉVENTION PRIMAIRE ET SECONDAIRE
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EXEMPLE DE COMMENT LA FORCE DE BASE D’UN ATHLÈTE AFFECTE SA CAPACITÉ DE CHARGE
- L’amélioration de la biomécanique/technique spécifique au sport.
- L’augmentation de l’intensité de la réhabilitation pour challenger les athlètes aux limites de leurs capacités.
- La construction de la résilience de l’athlète par l’augmentation de la capacité de charge, aussi bien physiologique que psychologique.
- L’implication d’une équipe pluri disciplinaire lors du processus de prise de décision, y compris l’athlète et le coach, avec pour objectif final un retour à la performance.
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LES 7 POINTS CLÉS POUR RESTAURER LA FORCE ET LES PATTERNS DE MOUVEMENT SPÉCIFIQUES AU SPORT
L’irritabilité est propre à l’athlète et très peu dépendante de la pathologie. Une irritabilité est considérée comme importante lorsque la douleur est forte au repos, présente la nuit et particulièrement invalidante. L’irritabilité est faible quand elle la douleur est faible, uniquement diurne et surtout limitée à l’activité en question.
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TESTING ET REPRODUCTIBILITÉ DES MESURES DANS LA RÉHABILITATION
- Un dynamomètre manuel pour les mesures de force.
- Un inclinomètre ou un goniomètre pour les mesures du ROM.
- Des PROMS.
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L’ERG, bien qu’étant une adaptation physiologique, doit être managé (afin que l’athlète puisse avoir du contrôle moteur dans cette nouvelle amplitude) en utilisant une thérapie active à base d’exercices pour éviter une blessure future.
La considération de la scapula doit faire partie d’une approche holistique de la réhabilitation du complexe de l’épaule, par exemple par le renforcement de toute la chaine cinétique pour améliorer la mécanique scapulaire.
Inclure des exercices en chaine cinétique ouverte et fermée dans le programme de réhabilitation d’athlètes overhead/lancer ou des athlètes de sports contacts/collisions.
Les exercices pliométriques doivent être intégrés dès les premières phases du programme, que ce soit pour les sports de lancers ou de collisions.
Le testing sera dicté par un déficit spécifique de l’athlète et devra être réalisé sur la base d’une fois par semaine minimum.
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DOMAINE 2 : LE ROM ACTIF DE L’ARTICULATION DE L’ÉPAULE
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DOMAINE 3 : FORCE, PUISSANCE ET ENDURANCE
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DOMAINE 5 : SE SENTIR PRÊT PSYCHOLOGIQUEMENT
PRIORITÉS POUR DE FUTURES
Ce qui n’a pas fait consensus doit faire l’objet d’investigations, c’est-à-dire :
Ce qui n’a pas fait consensus doit faire l’objet d’investigations, c’est-à-dire :
Programme
Screening
Charges
Mesures
Dyskinésie